Pirater une voiture connectée en moins de 90 secondes : la nouvelle méthode qui inquiète les experts en sécurité

Depuis quelques jours, les experts en cybersécurité tirent la sonnette d’alarme. Une méthode de piratage d’une efficacité redoutable permettrait de prendre le contrôle d’une voiture connectée en moins de 90 secondes, même lorsqu’elle est à l’arrêt et verrouillée. Ce n’est plus une hypothèse théorique, mais un scénario qui a déjà été démontré en conditions réelles sur plusieurs modèles populaires en Europe.

Selon les premières analyses, la technique ne nécessite pas d’équipement sophistiqué : quelques composants électroniques facilement accessibles suffiraient à tromper le système de sécurité embarqué. Une fois à l’intérieur, le pirate serait capable de démarrer le véhicule, désactiver le GPS et brouiller le système de localisation, rendant le vol presque indétectable. Aucune marque n’a officiellement communiqué pour l’instant, ce qui entretient un climat d’incertitude.

Sur les réseaux sociaux, les automobilistes expriment leurs inquiétudes. Beaucoup affirment déjà vérifier deux fois la fermeture de leur véhicule, et certains envisagent d’abandonner les systèmes de clés connectées. Cette inquiétude fait écho aux nombreuses discussions autour des nouvelles règles routières récemment entrées en vigueur plus tôt que prévu, publiées sur Kiboki, où le sentiment d’insécurité technologique prend de plus en plus d’ampleur.

Les spécialistes rappellent qu’un précédent avait déjà fait réagir la communauté, lorsque des cybercriminels avaient réussi à contourner des systèmes d’authentification à deux facteurs dans d’autres domaines numériques. Aujourd’hui, le même schéma semble se déplacer vers l’automobile, un secteur en pleine transition technologique. L’évolution rapide des véhicules connectés pourrait devenir une faiblesse tant que les solutions de défense ne suivent pas.

Pour l’instant, aucune recommandation officielle n’a été publiée, mais les experts conseillent de privilégier certaines précautions simples : garer le véhicule dans un lieu sécurisé, utiliser des protections physiques supplémentaires et désactiver temporairement l’ouverture sans clé lorsque c’est possible. Les automobilistes espèrent des réponses rapides, mais doivent encore patienter dans un climat d’incertitude.

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